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Estimation du nombre de bières nécessaires pour s'accoupler avec un"thon"

Préambule

Cet article s'attache à évaluer la quantité de “demis” requise pour se “taper un boudin”. Dans un premier temps, nous analyserons le genre de filles qui nous entourent, puis nous déterminerons celles qui sont “dégueulasses”. Enfin, nous terminerons une méthode scientifique pour estimer le nombre de “demis” permettant à un individu lambda de succomber à la furie d'une grosse vache.

Introduction

Cet article traite de la quantité de boissons à base de houblons fermentés à ingurgiter avant qu'un mâle homo-sapien soit réellement disposé à participer au rituel de l'accouplement avec une femelle homo-sapien, jouissant de vilains attributs, tels qu'un large bassin, des cheveux décolorés ou de petites glandes mammaires. Analysons d'abord les forces en présence. La première hypothèse, émise par Williams(1997), avance que la “sautabilité”* de nos connaissances féminines suit une loi de moyenne 6 et d'écart type 2. Ceci est représenté sur le graphique 1.

Nous constatons ici qu'il existe un grand nombre de filles moyennes, mais que seules quelques unes sont vraiment belles ou réellement moches. Une corrélation de ce théorème fut donnée par Naylor et al², qui établit que les références de “sautabilité” diffèrent d'un homme à l'autre, ce en fonction de la bière et des courbes de “besoin en baise” (CBB). *La “sautabilité” est grande lorsque la femelle en question mérite de recevoir le “lait de corps d'homme”

Fonction d'accessibilité

L'accès aux organes de reproduction de la femelle homo-sapien est parfois un chemin aisé, parfois truffé d'embûches. Il est possible d'exprimer cette relation ainsi: ACCES AU BARBU = f ( laideur) Ceci indique que plus une fille sera laide, plus l'accès à son barbu sera aisé. Par conséquent, si une fille est farouche et peu coopérante lors d'un attouchement sexuel, il est probable qu'elle soit attirante. L'illustration apparaît sur le graphique 2.

Ce graphique n'est nullement exhaustif tant il existe de nombreuses exceptions. Par exemple, certaines filles surévaluent très nettement leur coefficient de laideur, pensant qu'elles sont mignones, elles rendent difficile l'accès à leur barbu, alors que celui-ci devrait être des plus simples.

Calcul de la laideur d'une fille

Hatcher et al4 a établit la formule suivante, applicable à n'importe quelle fille: La fille parfaite peut-être définie par la formule suivante:

Chaque homme accordant une attention particulière à tel ou tel facteur, l'utilisateur appliquera un coefficient de majoration, en fonction de ses préférences. Par exemple, un homme particulièrement attiré par les nichons appliquera ceci: X = 2, Y = 1, Z = 1 et µ = 1. Ensuite, chaque paramètre sera noté entre 1 et 10. Cette loi nous indique l'importance accordée au facteur de laideur.

Prendra-t-elle ou non sa sonnée ?

Avant de définir combien d'alcool il est nécessaire d'absorber pour unir ces deux corps, une réflexion doit être faite. Que se passe-t-il si la fille prenait sa sonnée sans faire appel à l'alcool ? Ce problème fut soulevé par le théorème de Sobriété deNaylor: LA FILLE PRENDRAIT ELLE SA SONNEE SI TU ETAIS SOBRE ? Si la réponse est non, appliquer l'équation du nombre de bières nécessaires Si la réponse est oui, ne plus consommer d'alcool.

Calcul du nombre de bières pour une fille moche

William nous dévoile la formule suivante pour calculer la quantité nécessaire pour être disposé à forniquer avec un thon :

Avec :

  • L = Laideur (de 1 à 10)
  • P = Présentation (de 1 à 10)
  • S = Constante de la Salope (1 pour une femme, 2 pour une chienne)
  • CBB = Courbe de Besoin en Baise (de 1 à 10)
  • T = Température (de 1 à 10)

En règle générale, si le nombre de bières nécessaires est supérieur à 15, alors la région est saturée en Non-Baiseuses.

Conclusion

Malgré la conscience apportée à cette étude, certains facteurs méritent d'être pris en compte : la religion, la virginité et les gênes. Les équations développées ici, sont établies avec grand sérieux, mais le caractère aléatoire et imprévisible des femmes implique qu'une formule mathématique aussi juste soit-elle, ne donnera toujours le meilleur résultat. Références

  • C.Williams : “Le théorème quantique de l'étude des oiseaux”
  • J. Naylor : “La sautabilité féminine et ses applications”
  • S. Roberts : “La psychologie des femmes : la laideur affecte-t-elle la personnalité ?”
  • M. Hatcher : “Science du clitoris et exemples illustrés”

Traduction faite par VVO (Vincent Vasic Organisation)

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start/other/jokes/thon.txt · Last modified: 2016/09/13 23:14 by admin_wiki